A
Anonymous
Guest
Je vais vous dire un truc
Qu'il faut absolument que vous sachiez
Deux minutes de votre temps
Et vous pourrez repartir
Une histoire de ces hommes
Tous habillés de noir
Et la plupart d'entre eux
Ne reviendront pas
Envoyés à la guerre
Pour jouer à leurs petits jeux
Et à leur retour
Ils ne peuvent pas donner de noms
Un drôle de gaz jaune
A joué avec leur esprit
Leur a rougi les yeux
A effacé tous les mensonges
Et aussi étrange que cela semble
La mort ne connaît pas de limites
Combien s'en remettront
Seul le temps le dira
Seul le temps le dira
Tu reposes désormais sur ton lit de mort
Mais qu'as-tu apporté pour finir
Tu ne nous as apporté que le péché
Une confiance absolue est une chose mortelle
Ces prières de paix sacrée
Nous ne savions pas ce qu'elles cachaient
Comment avons-nous pu être aussi bêtes
Et quand je pense
Que nous croyions que tu étais la réponse
Je n'arrive pas à croire à tous ces mensonges
Mais sur ton lit de mort je le vois dans tes yeux
Aussi clairement que toutes les gouttes de sueur
Sur ton front
Cela a vraiment un sens
Je le vois clairement maintenant
Enchevêtré dans une toile de mensonges
Cela aurait pu être un moyen de prophétiser
Inconscient des conséquences
Inconscient des secrets que tu gardais
Rien que nous ne pouvions croire
Pour révéler la façade de ces hommes sans visage
Rien que nous ne pouvions prévoir
Maintenant un signe qui nous indiquerait l'issue
Tu nous as tous embobinés
Avec des promesses de paix
Mais tout du long ton plan caché était de nous tromper
Peut-on corriger ça, maintenantseul le temps le dira
Tes prophéties vont nous envoyer tous en enfer aussi
Laissés avec tous nos fils dorés
Tous prêts à récupérer la paix
Tu aurais pu leur donner à tous
Une petite chance... au moins
Mener le monde vers un meilleur avenir
Leur donner à tous juste un petit peu d'espoir
Pense seulement quel héritage
Tu vas maintenant... laisser
(5:56 – Solo : Janick Gers)
Nous semblons destinés à vivre dans la peur
Et certains diraient même que l'Apocalypse est proche
Mais tant qu'il y a la vie, il y a l'espoir
Que l'homme ne va pas s'autodétruire
Pourquoi ne pouvons-nous pas traiter nos frères humains
Avec plus de respect et une poignée de main
Mais la colère et le mépris sévissent
La mort de tous côtés est devenu un mode de vie
Nous vivons dans un monde incertain
De peur compatissante et l'ignorance nous mène à la mort
Seuls les cadavres demeurent
Pour les vautours qui se repaissent de leur os
Mais certains ne veulent simplement pas la paix
Leur vie entière n'est que mort et misère
La seule chose qu'ils savent
Est combattre le mal par le mal, la vie est bon marché
Mais s'ils prenaient le temps de réfléchir
Que l'humanité est prête à tomber dans le gouffre
Mais pensez-vous qu'ils s'en soucient
Ils bénéficient de la mort
Et de la souffrance et du désespoir
Discuter...
Qu'il faut absolument que vous sachiez
Deux minutes de votre temps
Et vous pourrez repartir
Une histoire de ces hommes
Tous habillés de noir
Et la plupart d'entre eux
Ne reviendront pas
Envoyés à la guerre
Pour jouer à leurs petits jeux
Et à leur retour
Ils ne peuvent pas donner de noms
Un drôle de gaz jaune
A joué avec leur esprit
Leur a rougi les yeux
A effacé tous les mensonges
Et aussi étrange que cela semble
La mort ne connaît pas de limites
Combien s'en remettront
Seul le temps le dira
Seul le temps le dira
Tu reposes désormais sur ton lit de mort
Mais qu'as-tu apporté pour finir
Tu ne nous as apporté que le péché
Une confiance absolue est une chose mortelle
Ces prières de paix sacrée
Nous ne savions pas ce qu'elles cachaient
Comment avons-nous pu être aussi bêtes
Et quand je pense
Que nous croyions que tu étais la réponse
Je n'arrive pas à croire à tous ces mensonges
Mais sur ton lit de mort je le vois dans tes yeux
Aussi clairement que toutes les gouttes de sueur
Sur ton front
Cela a vraiment un sens
Je le vois clairement maintenant
Enchevêtré dans une toile de mensonges
Cela aurait pu être un moyen de prophétiser
Inconscient des conséquences
Inconscient des secrets que tu gardais
Rien que nous ne pouvions croire
Pour révéler la façade de ces hommes sans visage
Rien que nous ne pouvions prévoir
Maintenant un signe qui nous indiquerait l'issue
Tu nous as tous embobinés
Avec des promesses de paix
Mais tout du long ton plan caché était de nous tromper
Peut-on corriger ça, maintenantseul le temps le dira
Tes prophéties vont nous envoyer tous en enfer aussi
Laissés avec tous nos fils dorés
Tous prêts à récupérer la paix
Tu aurais pu leur donner à tous
Une petite chance... au moins
Mener le monde vers un meilleur avenir
Leur donner à tous juste un petit peu d'espoir
Pense seulement quel héritage
Tu vas maintenant... laisser
(5:56 – Solo : Janick Gers)
Nous semblons destinés à vivre dans la peur
Et certains diraient même que l'Apocalypse est proche
Mais tant qu'il y a la vie, il y a l'espoir
Que l'homme ne va pas s'autodétruire
Pourquoi ne pouvons-nous pas traiter nos frères humains
Avec plus de respect et une poignée de main
Mais la colère et le mépris sévissent
La mort de tous côtés est devenu un mode de vie
Nous vivons dans un monde incertain
De peur compatissante et l'ignorance nous mène à la mort
Seuls les cadavres demeurent
Pour les vautours qui se repaissent de leur os
Mais certains ne veulent simplement pas la paix
Leur vie entière n'est que mort et misère
La seule chose qu'ils savent
Est combattre le mal par le mal, la vie est bon marché
Mais s'ils prenaient le temps de réfléchir
Que l'humanité est prête à tomber dans le gouffre
Mais pensez-vous qu'ils s'en soucient
Ils bénéficient de la mort
Et de la souffrance et du désespoir
Discuter...